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| ( all by myself ) Andrew Schneider posts : 33 points : 25 name : valentine // les draps bleus. faceclaim : jack falahee, endless love // signature, uc. âge : vingt-sept ans // des années volées au temps. job : ancien photo-reporter de guerre, fait otage en irak // errant des nuits assassines depuis son retour au pays. heart : autrefois amant inavouable // a trop peur de lui faire face à nouveau.
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( feat jack falahee ) andrew schneider calm me down with your caress, i'll get off while i watch you undress. maybe the sex will help me to forget, a precious, transient schizophrenic bliss.
| nom, prénom andrew levi schneider. tu l'as trop entendu. on l'a trop entendu. dans les flashs infos, sur les plateaux télé. les reportages, les caméras, les tyrannies et les images. même pas les tiennes. pas ton travail, pas ton passif. seulement les six cent quarante-quatre jours hors du monde. réalité amère d'une jeunesse volée. comme on a volé l'innocence de plus vieux, de ton grand-père enfermé derrière les barbelés. âge, naissance vingt-sept ans. t'as vieilli, sans t'en rendre compte. t'as pris de l'âge, t'as pris des rides. des cernes anxieuses, du vide dans le regard. ça t'a rajouté des dizaines, des centaines d'années. quand le temps s'est arrêté de tourner. né le neuf novembre mille neuf cent quatre-vingt neuf, à detroit. chute d'un monde, chute d'un mur. t'étais fait pour vivre l'espoir, fait pour vivre l'horreur. fait pour vivre, plus que tout. dans une ville trop grise, dans une ville trop triste. sans goût et sans avenir, ciel trop bas pesant sur tes épaules. nationalité, origines américain, d'origine juive allemande. apatride enfant d'un monde qui s'écroule. tu n'appartiens plus à rien, ni à quoi que ce soit. tu as perdu la notion de racines quand on a coupé tes branches une à une. à cracher dans la poussière, dans le noir de caves sans air. orientation sexuelle inavouable. t'as aimé quelques femmes. t'as aimé quelques homme. un en particulier, surtout. mais tu n'as rien crié sur les toits, tu n'as rien dit, tu n'as rien fait. paralysé par une éducation en épée de damoclès. statut civil inconnu. ça te fait peur. ces engagements. les promesses impossibles à tenir. parce que la vie les brise bien avant. peur de se laisser toucher, peur de se laisser approcher. parce qu'il y a encore des éclairs sous ta peau, quand on te frôle et qu'on t'effleure. tu étais un amant, un grain de sable devenu diamant. un mensonge, un bonheur, un honneur. et puis il y a eu ce vide forcé, et maintenant les nuages et l'orage. sans savoir qui tu es. argent, métier ($$$) ancien photo-reporter de guerre. on ne s'en souvient même plus. on se souvient de ton visage blafard, on se souvient de la barbe défraîchie que tu portais à l'aéroport. on se souvient du fauteuil dans lequel tu es d'abord revenu. il n'y a plus de pellicules sans secret, et les images sont gravées à l'acide sur la toile de tes souvenirs. alors maintenant, tu erres et tu cries. ça fait encore trop peu de temps. c'est si frais. mais on t'a déjà effacé derrière le statut qui t'a tué. pris pour cible, en otage. tu surnages, à tâtons. blogueur indépendant. une pause trop longue. tu n'as pas eu la force d'écrire, encore. seulement celle de boire. tu avais des choses à dire, avant. autre que des insultes et la revanche. des brûlures dans ta gorge. andrew est un feu-follet. une comète, un trou noir. à produire trop de lumière, il finit par en absorber. avant, il y avait un jeune homme brillant. rempli de fougue, rempli de verve. sans foi ni loi, si ce n'est le besoin de s'obéir avant tout. libre, surtout dans sa tête. mais les six cent quarante-quatre jours ont fait changer les balances. c'est encore trop frais, trop proche. mais il y a des nerfs à vif, une violence. et quelque chose d'insoutenable, le sentiment de ne plus cadrer. il a toujours été franc, toujours trop honnête. prêt à aimer quand il le fallait, même si le mot le terrifiait. mais maintenant, il ne sait plus si c'est de la lâcheté ou du courage. de ne plus se comprendre, de ne plus s'entendre. rêveur lucide. |
(un.) the great shipwreck of life. il a l'histoire sous la peau. des origines, lourdes dans le sang. né à la fin d'un monde, à la jonction de deux autres. il n'a jamais eu les épaules pour quoi que ce soit. ni la famille, ni le monde. il a fui la première, les études et le futur. et le monde, il l'a pris à bras le corps. pour se plonger au plus profond, essayer de saisir les instants qui s'envolent. il a mené sa vie à tâtons. conduire à vue, sans lendemain. (deux.) starboy. aujourd'hui, on connaît son visage. parce que ça faisait bientôt deux ans. qu'un flash info avait crié son nom en premier. la disparition d'un enfant, dans les creux des vallées trop lointaines. lui, il fuit. comme tout le reste. les conférences de presse, les contrôles. à peine rentré, déjà échappé. ni son pays, ni un autre. il est une étoile au sens littéral. une lumière sûrement déjà morte. une boule de feu qui brûle et se délite. (trois.) let's hurt tonight. personne ne sait vraiment. qui il est, qui il aime. sûrement pas sa famille. il en a eu trop peur, des regards et des jugements. même si, dans l'anonymat des rues trop longues, il s'en moquait. il était un amant et il était heureux. des souvenirs qui semblent déjà trop loin, même si rien n'a changé. et en même temps, plus rien ne cadre.(quatre.) sleep on the floor. des cicatrices, et sa carcasse trop lourde. et pourtant, il s'en sort bien. c'est peut-être la colère qui garde la vie en lui. cette chose qui s'est lovée au fond de ses yeux mordorés. il aurait rêvé de changer le monde, de frapper des grands coups. il erre bien mieux, entre les immeubles trop grands. la gorge sèche et les mains en sang. il s'est enfermé quelques heures, lui. une fois seul, laissé pour compte. un vieil appareil jetable, acheté au détour d'un comptoir. besoin de reprendre des images. besoin d'exorciser certains démons. la pellicule dort dans la poche d'une veste trop grande pour ses épaules d'enfant. (cinq.) apologize. il a peur de ce que ça pourrait faire. il a peur de tout. mais ça, il est incapable de l'admettre. lui, il n'a qu'un seul but. il ne voit plus à quoi servir, maintenant. la sensation d'être un jouet brisé, de ne plus réussir à rentrer dans des cases qu'il a pourtant toujours rejetées. il a perdu les muscles qu'il gardait pour courir derrière les forces armées. il a perdu les accroches, toujours le premier à s'insurger des actualités. il y a trop à rattraper. et face à la marée humaine, il serait presque près à sacrifier son corps. trouver un moyen d'exorciser, parce que sa chair est trop fragile encore. c'est ce qu'il déteste le plus. qu'on le croit faible. (six.) broken strings. il joue faux, violon désaccordé. il avait appris, plus jeune. jouer des notes, et puis chercher le regard de son père. il a encore mal aux doigts, quand il pense aux derniers noeuds qu'il a faits. on l'a usé, il a ployé. loin, le charmeur de serpents. celui qui prenait et jetait. les hommes et les occasions. il avait tout enterré pour un autre. qu'il a perdu dans la tempête de sable et de poussière. peur de ne plus l'entendre, de toute manière. parce qu'avec le temps, on finit toujours par passer à autre chose. même si il a laissé des marques profondes dans sa peau. ses dents pour enlever son alliance. (sept.) use somebody. il a toujours aimé les corps. machine humaine, des mécanismes primaires. il a trop souvent haï le sien. son seul allié, sa seule prison. il y a des brûlures à la cigarette sur ses épaules. et puis des réflexes rentrés dans les muscles. peur d'un bruit, peur d'un geste. des frissons, et la marée sur la peau. (huit.) colors. il avait des rituels inchangés et inchangeables. dans son maigre appartement, sous des combles et sur les toits de la ville. ses draps bleus, et puis la vie. des vieilles habitudes. quand il est parti, le chien était encore minuscule. quand il est parti, il avait encore une adresse. ce sont les affres du temps. d'effacer ses pas avec le vent. sans adresse, sans retour. une chambre dans un motel miteux, et les lumières de la ville qui se reflètent dans ses yeux. comme quand il était plus jeune. que le monde était à lui. c'était l'été et c'était la brise. (neuf.) in this shirt. la place des autres, des costumes et des masques pour cacher des rouages rouillés. il avait déjà des tendances meurtrières. pour son coeur, pour son corps. pour essayer de libérer son âme. donner, se donner. s'oublier dans des bras et dans des draps. rappeler les douleurs, rappeler les bonheurs. (dix.) unsteady. des deuils impossibles. lui, il a perdu. sa mère, pendant son absence. emportée par des mains crochues, des mains trop grandes. il n'a pas eu le temps de digérer. son comportement n'aide pas. claquer la porte à des êtres qui se sont pourtant tant inquiétés. besoin de liberté. des chaînes naturelles, et des actes détestables. l'égoïsme de survie.
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| silas heathcliff ( feat michael fassbender )never let me go une dispute, une exposition. un numéro écrit sur sa main, des soirées trop longues. les lumières de la ville, son sourire innocent. il lui a volé son alliance, il a pris sa main. il l'a aimé sans lendemain. et puis il y a eu les autres jours. les autres années. les habitudes, les retrouvailles. la maison de campagne, la vie cachée. avant de disparaître. il a trop pensé à lui, enfermé loin du soleil. et il a eu trop peur, en lui rendant sa liberté. qu'il ait refait sa vie, comme il le méritait. qu'il soit passé à autre chose, qu'il l'ait oublié. ou peut-être pire, qu'il l'aime encore. qu'il l'attende encore. parce qu'il a trop peur de ce qu'il est devenu. trop peur de ce corps plus vraiment sien, trop peur de ses nuits plus vraiment siennes. mais c'est naturel, et ça en est presque douloureux. entendre sa voix au téléphone et laisser couler les larmes. silas, c'est le phare et la terre promise. tout ce qu'il n'aurait jamais cru possible. silas, il l'a attendu et il l'a cherché. et il n'y a que ses bras pour vraiment l'apaiser. |
prénom nom ( feat avatar )type de liens But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. | |
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Dernière édition par Andrew Schneider le Dim 1 Jan - 21:13, édité 1 fois |
| | | ( all by myself ) Andrew Schneider posts : 33 points : 25 name : valentine // les draps bleus. faceclaim : jack falahee, endless love // signature, uc. âge : vingt-sept ans // des années volées au temps. job : ancien photo-reporter de guerre, fait otage en irak // errant des nuits assassines depuis son retour au pays. heart : autrefois amant inavouable // a trop peur de lui faire face à nouveau.
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| | cette plume, doux jésus. |
| | | ( all by myself ) Andrew Schneider posts : 33 points : 25 name : valentine // les draps bleus. faceclaim : jack falahee, endless love // signature, uc. âge : vingt-sept ans // des années volées au temps. job : ancien photo-reporter de guerre, fait otage en irak // errant des nuits assassines depuis son retour au pays. heart : autrefois amant inavouable // a trop peur de lui faire face à nouveau.
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| | tu te rends pas compte. ta fiche est si belle.
alors je pensais à un lien négatif, sinon assez complexe.. en lisant ta fiche, je me dis qu'elizabeth semble être tout ce qu'andrew déteste. américaine sans origines autres que celles des yankees, fille aînée d'une famille propriétaire d'une chaîne de banques de luxe, mannequin. portrait si futile face à tout les individus que drew a croisé au cours de ses reportages, lui qui s'est toujours battu pour la vérité, pour une cause. si loin du quotidien d'elsie qui ne se balade qu'en sous-vêtements toute la journée... j'imaginais un premier contact au retour de drew après son enlèvement, peut-être se seraient-ils croisés lors d'un talk show (du genre le grand journal, avec plusieurs invités d'univers différents ) et la rencontre ne se serait pas bien passée, trop éloignés par leurs différences. et justement à partir de là, je pense qu'il y a de quoi réfléchir à un bon lien.
(parce qu'au final, elsie est loin d'être le cliché de la blonde mannequin que les médias se complaisent à lui attribuer. elle est toujours souriante et positive certes, mais elle est aussi quelqu'un de très cultivé par son éducation, mais aussi parce que c'est une vraie passionnée. sans doute aurait-elle pu suivre certains des reportages de drew avant tout ce qui lui est arrivé, même être fan. leur altercation aurait alors pris un tout autre sens, elsie vraiment déçue par cette rencontre qu'elle attendait 'magique'. ) |
| | | ( all by myself ) Andrew Schneider posts : 33 points : 25 name : valentine // les draps bleus. faceclaim : jack falahee, endless love // signature, uc. âge : vingt-sept ans // des années volées au temps. job : ancien photo-reporter de guerre, fait otage en irak // errant des nuits assassines depuis son retour au pays. heart : autrefois amant inavouable // a trop peur de lui faire face à nouveau.
| | c'est pas ma meilleure, c'est pour ça mais omg omg omg omg drew vient vraiment de rentrer. il a mal vécu déjà rien que la première conférence de presse en rentrant. et il s'est cassé, a largué sa famille et pris un avion pour Ottawa où il erre dans un motel miteux avec même pas un téléphone portable, pour l'instant il est un poil déconnecté du monde réel quoi c'était pas un gars très connu, ses photos c'étaient genre celles qu'on voyait dans les journaux mais on savait jamais trop, on se souvenait pas de son nom au quotidien mais El connaît peut-être son blog, toujours figé avec un dernier message, d'il y a deux ans, où il disait qu'il repartait en Irak mais si après, là, quelqu'un arrive à le recontacter... et qu'il accepte, god ouais, c'est le genre de mec pas toujours très stable qui peut se casser du plateau ou bien être un vrai chien en coulisses, une boule de stress |
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| | Je peux ? |
| | | ( all by myself ) Andrew Schneider posts : 33 points : 25 name : valentine // les draps bleus. faceclaim : jack falahee, endless love // signature, uc. âge : vingt-sept ans // des années volées au temps. job : ancien photo-reporter de guerre, fait otage en irak // errant des nuits assassines depuis son retour au pays. heart : autrefois amant inavouable // a trop peur de lui faire face à nouveau.
| | of course à ce que je vois dans ton profil, ta belle a perdu son mari sous les bombes... ? |
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| | | | ( all by myself ) Andrew Schneider posts : 33 points : 25 name : valentine // les draps bleus. faceclaim : jack falahee, endless love // signature, uc. âge : vingt-sept ans // des années volées au temps. job : ancien photo-reporter de guerre, fait otage en irak // errant des nuits assassines depuis son retour au pays. heart : autrefois amant inavouable // a trop peur de lui faire face à nouveau.
| | c'est vraiment tout frais mais good god, je vote pour tout ça ça peut nous faire un tellement super rp, y a de quoi bien s'amuser (Drew est inculte et déconnecté de tout de toute façon, SURTOUT de tout ce qui est mannequinat et lingerie féminine, c'est pas trop ce qui l'intéresse, malgré tout ) |
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| | je viens te voir en mp alors. |
| | | ( beautiful mind ) Tomas Grayson posts : 349 points : 276 name : pauline. faceclaim : theo james, valyria âge : thirty five years old job : marketing director and press officer heart : married
| | mon bg |
| | | ( all by myself ) Andrew Schneider posts : 33 points : 25 name : valentine // les draps bleus. faceclaim : jack falahee, endless love // signature, uc. âge : vingt-sept ans // des années volées au temps. job : ancien photo-reporter de guerre, fait otage en irak // errant des nuits assassines depuis son retour au pays. heart : autrefois amant inavouable // a trop peur de lui faire face à nouveau.
| | | | ( up and away ) Billy Heyerdahl posts : 149 points : 184 name : Andie, RIUM. faceclaim : Josh Duhamel (angel dust, tumblr) âge : 43 ans job : Major dans l'armée Canadienne heart : Prit par une brune depuis des années, ça me tue comment elle me manque, je la veux. Elle.
| | OH MOI ! JE VEUX UN LIEN! J'aurais peut-être même une idée avec l'Irak ! C'est un militaire :D |
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